Passer à l’acte
Il y a tant de choses que nécessitent d’être faites:
Certaines sont liées à notre activité professionnelle, d’autres à nos obligations familiales ou sociales et puis il y a celles que nous souhaiterions accomplir pour notre réalisation personnelle.
Les moteurs sont différents. ils peuvent être alimentés par la raison, la peur ou l’anticipation du plaisir. Un mélange des trois est fréquent.
Qu’est ce qui pousse un directeur des ventes à maintenir sa discipline de travail?
Est-ce le fruit de son expérience, la peur de l’échec, la promotion convoitée?
Laquelle de ces énergies d’action est-elle la plus puissante?
Une part d’inhibition est associée à toutes nos activités. Pour chacun d’entre nous ces deux énergie contraires s’affrontent dans l’ombre de nos projets.
La question capitale est: peut-on intervenir sur l’une ou l’autre, peut-on accroître notre motivation et réduire les inhibitions.
Si nous pensons que notre personnalité qui a s’est forgée au fil des années est semblable au moulage du sculpteur figé dans le bronze alors la réponse est non. Nos comportements, ainsi, seraient déterminés par une mécaniques inflexible.
Si au contraire nous pensons que chacune des composantes de notre personnalité est comme la glaise du même sculpteur, malléable, modifiable, que sa forme en est toujours perfectible, alors accordons du temps à nous façonner.
Un cadre soumis à des obligations de résultats importantes, s’il ne possède pas certains outils, peut très vite devenir improductif, moins créatif .
La capacité à l’auto-motivation dont il est question ici est une des compétences d’intelligence émotionnelle. Elle tient une part importante dans les formations en développement personnel. Elle interagit avec l’estime de soi, la créativité, l’adaptation et la régulation émotionnelle.
Elle mérite toute notre attention.
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